Outre la mise en place des solutions logicielles antimalwares, en tant que chef d’entreprise, vous devez faire en sorte que la cyberattaque devienne la préoccupation de tous vos collaborateurs et plus seulement du service informatique.
Quelques bonnes pratiques faciles à mettre en œuvre permettent de protéger les entreprises du piratage informatique.
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Si vous n’êtes pas en mesure d’investir des compétences et de l’argent dans la sécurité de leurs solutions informatiques, la Confédération Générale du patronat des Petites et Moyennes Entreprises (CGPME) et l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI) ont publié un guide permettant aux PME de prévenir les conséquences d’un piratage informatique. Vous pouvez le télécharger gratuitement sur le site de l’ANSSI.
Les préconisations suivantes sont détaillées dans ce guide.
Avec l’augmentation constante du nombre d’attaques informatiques, le gouvernement a décidé de mettre à disposition des professionnels et des particuliers, une plateforme d’assistance.
Cette plateforme numérique, appelée cybermalveillance.gouv.fr, est disponible depuis le 17 octobre 2017. Elle permet aux victimes :
De plus, grâce aux données recueillies, un observatoire du risque numérique sera créé, permettant ainsi de l’anticiper.
MMA s’associe à la plateforme du dispositif cybermalveillance.gouv.fr pour vous accompagner face aux risques numériques grandissants.
Outre la mise en place des solutions logicielles antimalwares, en tant que chef d’entreprise, vous devez faire en sorte que la cyberattaque devienne la préoccupation de tous vos collaborateurs et plus seulement du service informatique.
Extorsion de fonds, vol, destruction des données, indisponibilité du matériel informatique… : les conséquences d’une cyberattaque contre votre entreprise peuvent être importantes. Nos conseils pour réagir en cas d’actes malveillants sur votre réseau informatique.
En cas de cyberattaque, la protection juridique MMA(1) intervient dans la gestion du litige (information juridique, négociation amiable…) et la prise en charge des honoraires d’avocats.
(1) Assurée et gérée par COVEA Protection juridique.